partie 16
1959 – SAISON
En 1958, Ford aussi n’attire pas les foule avec son nouveau model de voiture et doit immédiatement retourner à la table à dessins pour corriger la situation et le nouveau models fait son entrée dans les salles de montre : la Galaxie 500 déclassera la Fairlane 500 au sommet de la gamme offert par la marque.
Ford 1959.
Tout comme chez les autres manufacturiers, Ford ne présente pas de nouvelle mécanique en 1959, on retravaillera légèrement le V8 de 352 pc pour y baisser légèrement le taux de compression. Le moteur a donne bonnes prouesses économie/performance, mais il affiche les même chiffres de puissance qu’en 1958, soit 300 hp, ce qui est en dessous de la compétition soit Chevy, Olds, Pontiac et Plymouth.
Ford doit immédiatement trouvé une solution, car toute l’attention des médias sera porté sur le NASCAR, car la première course sera celle qui inaugurera le « nouveau » circuit de Daytona, un circuit qui mettra l’emphase sur la vitesses des voitures, or Ford ne sent pas que sa Galaxie 500 sera de taille. Ford est bien conscient que Chevrolet et Pontiac manigancent déjà leur domination, plusieurs de ses voitures inscrites pour la saison 1959 ont comme propriétaire des concessionnaires. N’étant pas « Directement » lié aux manufacturier, Bill France ne peut empêcher cette situation alors qu’il sait très bien que Chevrolet et Pontiac envoient en cachettes des pièces et des mécaniciens directement de Détroit travailler secrètement sur ses voitures à même les garages de concessionnaires.
Thunderbird 1959
Ford, qui ne s’attendait pas à ce que General Motors joue en hypocrite, doit jouer de ses deux atouts qui lui reste si elle veut éviter la déconfiture : La Thunderbird et Holeman-Moody. Ford qui voyait sa Thunderbird bien se vendre en 1958 décida que de lui apporter des détails cosmétiques mineur pour 1959, décida dès la mi-1958 de laisser Holeman-Moody acheter ces nouvelles voitures sans moteur pour que ceux-ci puissent les préparer adéquatement pour leur donné robustesse et rigidité et surtout pour que l’équipe technique de NASCAR puisse accepter l’inscription d’une telle voiture pour la saison 1959.
La Thunderbird qui avait perdu ses qualités de « sports car » en 1958 pour prendre un poids et des dimensions semblables à une voiture régulière fut accepter par Bill France et la Thunderbird sera le produit Ford qui se retrouvera sur les ovales en 1959. Établis dans les « vieilles » installations de Ford, chaque Thunderbird vendu à Holeman-Moody sera préparé pour être revendu a des indépendants par la suite. Étant donné que Holeman-Moody fait l’acquisition de ses voitures, il est donc impossible de prouver que Ford supporte le NASCAR.
Une T-Bird Holeman-Moody.
Les dirigeant de chez Ford se creusent les méninges pour augmenter la puissance de leur voiture et on laisse éventuellement tomber le V8 « Interceptor » de 352 pc pour la T-Bird, le seul problème est qu’il n’existe pas de moteur plus puissant au sein de la gamme de moteur FE (Ford Engine), Ford transgressera alors sa politique interne et décidera d’utiliser un moteur MEL (Mercury-Edsel-Lincoln) pour avoir une mécanique fiable développant plus de 300 hp avec un simple carburateur quatre corps. Le choix se portera sur le plus gros moteur de la famille MEL, soit le V8 de 430 pc. Il s’agit en fait d’une version « dé-tunner » du Super-Marauder de 1958 qui développait 400 hp. Cette version du Marauder conçu pour la T-Bird affiche les 350 hp. Vers la fin 1958 Holeman-Moody prendra livraison des V8 « Marauder » pour les installer dans ces voitures déjà préparées et prêtes à distribués. Il va de soit que Ford dût discrètement ajouter à son catalogue d’option le « Marauder » sur sa Thunderbird, quoique le moteur étant distribué au compte goutte et la grande majorité des « Square-birds » de 1959 furent équipées du V8 de 352 pc régulier.
Des toits « durs » facile a enlever permettaient au T-Bird Holeman-Moody de courir en classe convertibles et sedan régulières.
Préparation d’un 430 pour une T-Bird Holeman-Moody
Bill France voit qui promet l’ultime « Super-Speedway » depuis 1954 pour sa ville chérie, Daytona, voit enfin son rêve se concrétisé et l’on fait le double d’effort pour terminer la construction du circuit pour l’inaugurale course de Daytona en février 1959.
Les jours ou l’on pouvait voir les voitures frottées leur portière sur la plage ensoleillée sont bel et bien fini.
L’installation de Daytona est unique en sont genre et sa construction n’est pas terminé qu’elle attire déjà massivement l’attention des médias.
Alors que le circuit n’est pas encore pavé, Bill France conduit sessions des tours d’essaie aux Pilotes de NASCAR et représentant des médias.
Une « test run » abord d’une Oldsmobile.
L’inclinaison de 31 degrés, les longues lignes droites, les virages requérant peu de freinage et la surface asphalté sont déjà des éléments qui permettent aux pilotes de présager que les vitesses qui seront obtenues sur le circuit seront au-delà de tout ce que le NASCAR à connu. Les vieux de la vieille qui sont habitués des installations minuscules en terre battues sont carrément effrayés et refusent de courir le Daytona 500.
Les équipes débarqueront a Daytona en Février pour participer aux « test » run avant la qualification du Daytona 500. Les Floridiens misent alors leur espoir sur Fireball Roberts qui a joint ses forces à Smokey Yunnick sur Pontiac. (La voiture étant la propriété du légendaire concessionnaire Stephens Pontiac)
Yunnick et Roberts posant devant leur Pontiac. Avec moins de moyens qu’auparavant, ceux-ci vont concentrer leurs efforts uniquement sur les évènements ou les prix en argent sont importants.
Le public garde un œil attentif sur les Thunderbird Holman-Moody qui annoncent livrer une forte opposition aux Chevrolet, mais la majorité des amateur de NASCAR placeront leur « gagures » sur le champion de 1958, Lee Petty, qui a fait l’acquisition d’une Oldsmobile flambant neuve pour la saison 1959.
Thunderbirds à Daytona.
Lors des premières journées d’essais officiels sur la piste de Daytona, la voiture la plus rapide fut la Thunderbird de Curtis Turner qui atteignit les 143 mph (230 km/h). Il est à noté que certains pilotes ont dût « lever le pied » lors des essais car plusieurs partie des barrières de sécurités qui entourent le circuit n’était pas encore installé rendant la piste dangereuse si une voiture perd le contrôle.
De nos jours les pilotes roulent dans les 188 mph (301 km/h) à Daytona. Ce qui rend assez impressionnantes les vitesses de 1959, puisque les voitures étaient des voitures de rues, équipes de freins à tambours aux quatre roues, aucun élément d’aérodynamisme, pas de pneu à carcasse radiale et des voitures très lourdes complètement en métal. À noter qu’ils n’avaient pas de combinaison ignifuge, des casques primitifs et seulement des ceintures de sécurité 1 passe au niveau du ventre.
Qualifications à Daytona.
Cotton Owens signera la temps le plus rapide lors des qualifications, 39 voitures seront inscrites pour compétitioner au Grand National alors que 20 autres voitures seront inscrite dans la classes des « convertibles », faisant un total de 59 voitures en pistes!
Convertibles à Daytona
Bill France doit mettre fin aux courses de convertibles, car celle-ci sont devenues dangereuses sur les ovales à grande vitesses puisque les voitures sont très instable à cause de leur handicap aérodynamique et se retrouvent à être beaucoup plus lentes en piste que les sedans régulière.
Le 22 Février 1959, on donne le départ du premier Daytona 500. Environ 42 000 personnes seront présents pour assister a cet événement historique.
Vue du « champ intérieur » de Daytona.
L’Amérique a l’œil rivé sur Daytona et les enjeux sont gros, pour NASCAR, les manufacturiers automobiles, les pilotes et équipes. La course est serré est les rebondissements sont nombreux, bon nombre de voitures perdent des roues, celle-ci incapable de supporter le stress des hautes vitesses. La Pontiac « Wide-track » de Fireball Roberts semble tout designer pour ce circuit et celui-ci prendra rapidement la tête mais devra abandonner plus tard pour un problème de moteur.
Daytona file encore entre les doigts de Roberts qui doit abandonner.
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À mesure que l’on se rapproche de la fin de l’épreuve, la bagarre pour la tête et de plus en plus serré
. Le Chevy #48 de Bob Weatherly, la Oldsmobile #42 de Lee Petty et la Thunderbird #73 de Johnny Beauchamp. En fait la Chevrolet de Weatherly est un tour en retard, mais comme il reste peu de tour et que sa voiture n’est pas équipée de radio, il tiendra tête a Petty est Beauchamp jusqu’à la fin de l’épreuve.
Alors que le dernier tour tire à sa fin le public retient son souffle alors que les voitures franchissent la ligne d’arrivé.
Les trois voiture franchissant la ligne d’arrivé cote à cote.
Le public, les pilotes et officiels NASCAR sont confus. Personne n’est capable de déterminer si Petty ou Beauchamp est victorieux. La victoire est l’une des plus serré jamais connu en NASCAR est une première pour la série qui est à sa 12 ième année d’existence. Comme une décision doit être prise sur le champs les officiels s’entendent de dire que la Thunderbird a été la première voitures a franchir la ligne d’arrivé et Johnny Beauchamp sera donc consacré vainqueur !
Johnny Beauchamp Victorieux.
Bill France met en garde Beauchamp et son équipe que cette victoire est seulement provisoire parce que « The show must go on ». Bill France et les officiels de NASCAR devrons attendre que les films photo de la ligne d’arrivé et le bande vidéo soit développé avant de prendre une décision. Après une semaine de visionnent de vidéos et de photo NASCAR consacrera la victoire du premier Daytona 500 à Lee Petty sur Oldsmobile.
La victoire revient a Lee Petty
Après les émotions fortes de Daytona retombés, NASCAR continue de subir encore les revers de la
récession qui touche l’Amérique, bien que moins catastrophique que l’année 1958 NASCAR n’attirera pas l’attention de l’Amérique en 1959.
Richard Petty est la recrue qui fait le plus parler de lui, car il demeure toujours compétitif au volant de sa Plymouth pour la Saison 1959, bien qu’il ne participe pas à toutes les courses, il finira la saison 15ième.
La majeur partie de la saison se disputera entre le clan Petty (Lee et Richard) sur Oldsmobile/Plymouth, Cotton Owens sur Ford Thunderbird et Speedy Thompson sur Thompson sur Chevrolet.
Buick convertible de Elmo Langley menant le peloton.
Lee Petty se retrouve pour la troisième champion du Grand National, lui , vétéran de 45 ans, commence a songer à la retraite.
Lee Petty, Champion de 1959 et son Oldsmobile.
NASCAR se prépare en entrer dans une nouvelle décennie et une nouvelle ère de l’automobile Nord américaine commence à se dessiner. Ford et Chevrolet se préparent à reprendre leur duel qu`ils n’avaient pas terminé en 1957. Qui flanchera le premier et transgressera « officiellement » les règle de l’AMA?
Vous le saurez bientôt….